Live Comete
"La Seine de nouveau ruisselle d'eau bénite"
2021 – La Comète Liège (B) Espace 251 Nord
"The Seine flows with holy water once again" is an electronic music and video live performance created by Ronald Dagonnier. Composed of six distinct parts, this creation is an immersive experience for the audience. The live includes reactive audio video, LED, strobe and real-time camera.
The first part captures the audience using a motorized camera, creating proximity between the artists and the spectators. This interactive approach is a way to engage the audience and involve them in the experience.
The second part refers to Brazil and Capoeira, a dance deeply rooted in Brazilian culture. The dancing skeleton adds a macabre and unsettling dimension to this performance, creating a contrast between dance and death.
The third part addresses vanitas (memento mori) and death, inspired by the staircase scene from Hitchcock's Psycho, where the son carries his mother's skeleton. This part of the performance is probably the darkest. It is charged with symbols and metaphors that create a profound visual and emotional experience.
The fourth part of the performance takes us into Ronald's childhood through a robot he built at the age of 4 and modeled in 3D. This part of the performance is touching and allows us to better understand the artist and his relationship with technology.
The fifth part addresses vanitas again, with skeletons running through the room under a strobe-like saturated light. This part of the performance is probably the most visually "aggressive," with light effects creating an electric atmosphere.
The sixth and final part of the performance refers to Godard's contempt and the end of cinema, alternating between film shots and 3D skeletons. This part is a reflection on art and its evolution, a reflection that is relevant in a world where digital technologies are becoming increasingly important.
"La Seine de nouveau ruisselle d'eau bénite" est un live musical électronique et vidéo créé par Ronald Dagonnier Composé de six parties distinctes, cette création est une expérience immersive pour le spectateur. Le live inclu de la vidéo audio réactive, du Led, du strobe et de la caméra en temps réel.
La première partie capture le public à l'aide d'une caméra motorisée, permettant ainsi de créer une proximité entre les artistes et les spectateurs. Cette approche interactive est une façon d'engager le public et de le faire participer à l'expérience.
La deuxième partie fait référence au Brésil et à la Capoeira, une danse qui est ancrée dans la culture brésilienne. Le squelette qui danse ajoute une dimension macabre et inquiétante à cette performance, créant un contraste entre la danse et la mort.
La troisième partie aborde les vanités (memento mori) ainsi que la mort , s'inspirant de la scène de l'escalier de Psychose d'Hitchcock, ou le fils porte le squelette de sa mère. Cette partie de la performance est probablement la plus sombre. Elle est chargée de symboles et de métaphores qui permettent de créer une expérience visuelle et émotionnelle profonde.
La quatrième partie de la performance nous plonge dans l'enfance de Ronald, à travers un robot qu'il a fabriqué à l'âge de 4 ans et qu'il a modélisé en 3D. Cette partie de la performance est touchante et permet de mieux comprendre l'artiste et sa relation avec la technologie.
La cinquième partie aborde à nouveau les vanités, avec des squelettes qui courent dans la salle, sous une lumière saturée de type stroboscopique. Cette partie de la performance est probablement la plus visuellement "agressive", avec des effets de lumière qui créent une ambiance électrique.
La sixième et dernière partie de la performance fait référence au mépris de Godard et à la fin du cinéma, avec une alternance de plans du film et des squelettes en 3D. Cette partie est une réflexion sur l'art et son évolution, une réflexion qui est pertinente dans un monde où les technologies numériques prennent une place de plus en plus importante.






